Pour le club Londonien, les averses sont monnaie courante tout au long de l’année. Le terrain mouillé des hockeyeurs a clairement posé question : lorsque son drainage est devenu problématique, le conseil du club s’est mis à la recherche d’une solution plus efficace. Et ils l'ont trouvé : un système semi-sablé qui répond en même temps à toutes les exigences de la Fédération internationale de Hockey (FIH).
Le Barnes Hockey Club a vu le jour en 1889. Il est reconnu pour son professionnalisme : chaque joueur de hockey – quel que soit son âge ou son niveau – est entraîné par un coach expérimenté, lequel surveille de près sa progression. Le terrain est également un élément important pour pouvoir fournir cet entraînement de qualité.
C'est la raison pour laquelle le conseil du club a décidé de renouveler son terrain. Lors de son inauguration en août 2018, les joueurs ont porté un toast au nouveau terrain et fait leurs adieux à l’ancien, appelé « le Marais ».
Adieu au « Marais »
David George, directeur de terrain et entraîneur du Barnes HC, explique pourquoi la rénovation du terrain de hockey était nécessaire : « Notre ancien terrain n’avait que onze ans. Il était en bon état mais le drainage n'était plus optimal. La structure nécessitait une intervention. En fait, des travaux urgents au niveau du sol étaient devenus inévitables ».
Mouillé vs. semi-sablé
Pour trouver une solution à ce problème de drainage, le club s'est tourné vers Lano Sports. « Après avoir comparé différents terrains, nous avons finalement opté pour la technologie S • Tec Revolution Xperience », explique David.
« Il s’agit d’un gazon artificiel semi-sablé qui répond aux normes de la Fédération internationale de Hockey (FIH). L'installation s'est parfaitement déroulée et nous sommes très satisfaits du résultat : nous voyons la différence au niveau des coûts de maintenance. Notre terrain n’est plus « marécageux » et il n’y a plus d'algues qui se développent » (rires).
Les joueurs et le personnel sont-ils satisfaits ? « Tout le monde est fan », confirme David. « Certes, les joueurs ont dû changer un peu leur style de jeu, mais la fluidité dans la circulation de balle est revenue très rapidement », dit-il en conclusion.